Il me semble, qu’à un moment de notre vie, notre perception de nous se fige, en dépit du compte des années, créant un décalage avec l’être en surface, visible de nous autant que des autres, et celui qui se vit au fond de nous.
Peut-être cette distorsion vient-elle nous rappeler que notre enveloppe charnelle est temporelle quand l’être que nous sommes et qu’elle enferme momentanément est atemporel.
Photographie – Susu Laroche

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